Chers amis et adhérents, en occasion de la sortie en France du film « Ennio » de Giuseppe Tornatore, le Cinéma Louxor et Les Ateliers de Cribeau sont heureux de vous annoncer une séance hommage à Ennio Morricone le 6 juillet prochain à 20h. La séance sera précédé d’une pastille vidéo réalisée par les musiciens d’Ennio Morricone, le Quatuor Pessoa & Leandro Piccioni, en présence de Mme Irene Castagnoli, Consule Générale d’Italie à Paris. Nous vous attendons nombreux !!
♦ MERCREDI 6 JUILLET • 20H ♦ SOIRÉE HOMMAGE À ENNIO MORRICONE ENNIO de Giuseppe Tornatore Italie 2022 – 2h36 – VOSTF avec Giuseppe Tornatore, Ennio Morricone, Bernardo Bertolucci
Tarif unique de 4 € pour la Fête du Cinéma
SÉANCE PRÉCÉDÉE D’UNE PASTILLE VIDÉO RÉALISÉE PAR LES MUSICIENS D’ENNIO MORRICONE, LE QUATUOR PESSOA & LEANDRO PICCIONI, EN PRÉSENCE DE MADAME IRENE CASTAGNOLI, CONSULE GÉNÉRALE D’ITALIE À PARIS. En partenariat avec Les Ateliers de Cribeau
Compositeur italien né à Rome le 10 novembre 1928, Ennio Morricone doit sa popularité à la musique de film, ce qui constitue la majeure partie de son œuvre, bien qu’il collabore également pour le théâtre, la radio et la télévision. Sa rencontre avec le réalisateur Sergio Leone lui fera acquérir une renommée internationale. Récompensé tout au long de sa carrière, il reçoit un Oscar d’honneur durant la 79e cérémonie des Oscars en 2007. Ennio Morricone est mort à Rome le 6 juillet 2020.
Le Maestro Leandro Piccioni a collaboré avec Ennio Morricone à partir de 2001 et dès 2015 il a été son pianiste soliste officiel. Il a joué avec le Maître dans le monde entier avec des orchestres internationaux. Le Quatuor Pessoa a enregistré des extraits des musiques originales de Leandro Piccioni pour le film « La flûte enchantée de Piazza Vittorio » (tiré de la « Flûte enchantée » de W.A Mozart) Prix David de Donatello 2020 comme « Meilleur Musicien ». Le 3 Mai 2018 le Quatuor s’est produit à Cinecittà, lors de de l’événement de présentation « Fare Cinema » promu par le Ministère des Affaires Etrangères, devant les plus hautes autorités institutionnelles et artistiques du cinéma italien, parmi lesquelles Ennio Morricone.
après la belle soirée à l’Institut Italien de Culture de Paris la semaine dernière, l’éclectique artiste italienne Tosca sera à Paris le 20 mai prochain pour un concert au Pan Piper.
Les Ateliers de CriBeau bénéficieront pour l’occasion d’un tarif préférentiel.
Vous pouvez d’ores et déjà réserver vos places en suivant le lien ci-dessous.
A ne pas rater !!!!!
Chanteuse, actrice, animatrice radio, coordinatrice générale de l’ « Officina delle Arti Pier Paolo Pasolini » (Centre Culturel et Office de Haute Formation Artistique) dans la région du Lazio, Tosca est une artiste complète et multi-talents avec un penchant naturel pour la recherche et l’expérimentation musicale.
« MORABEZA » est le titre de son nouvel album pour lequel en 2020 elle a obtenu les prix de Meilleure Interprète de Chansons et Meilleure Chanson avec « Ho amato tutto ».
Depuis toujours fascinée par les musiques du monde, elle fait partie des voix les plus belles et les plus polyvalentes de la scène italienne et étrangère. Dotée d’une créativité intense, elle se lance en 2021 dans la tournée internationale « Morabeza in teatro World Tour », une série de concerts à la fois intimes, raffinés et populaires. À chaque concert, Tosca entraîne le public dans l’atmosphère colorée et chaleureuse d’un salon sud-américain imaginaire. Par un dialogue continu avec les musiciens, elle interprète les chansons de l’album tout en repoussant les limites de sa recherche musicale.
Avec 9 albums studio et 6 album live, des concerts dans toute l’Italie, elle a travaillé avec certains des plus grands artistes italiens et internationaux, tels que Ivano Fossati, Nicola Piovani, Ennio Morricone, Chico Buarque, Ivan Lins, Richard Cocciante, Lucio Dalla, Renzo Arbore, ou encore Renato Zero et Ron.
Au fil de sa carrière, Tosca aura remporté de nombreux prix comme le prestigieux « Targhe Tenco » en tant que Meilleure interprète avec l’album «Incontri e Passaggi» (1997), Meilleur album avec «Viaggio in Italia» avec le collectif Adoriza (2019), Meilleure chanson et Meilleure interprète pour le titre « Ho amato tutto » (2020) ; le prix «David di Donatello» en tant que Meilleure chanson originale (2019)ou encore le prix «Giancarlo Bigazzi» de la Meilleure composition au festival de Sanremo (2020).
MORABEZA est le nouvel album studio de Tosca, fruit d’une tournée mondiale de trois ans, ainsi que le sujet du documentaire « Il suono della voce » («Le son de la voix») réalisé par Emanuela Giordano, et pour lequel Tosca a été récompensée aux « Nastri D’Argento Awards » 2020 en tant que « Meilleure Interprète ». Intime, élégant, inspiré, contemporain, MORABEZA « est le récit de mon quotidien musical, la façon dont j’ai choisi de traduire en musique le pur plaisir d’écouter avec la seule envie de fusionner les émotions avec les notes et les mots », explique Tosca. Projet initié par Tosca, produit et arrangé par Joe Barbieri, il comprend à la fois des chansons originales, des réinterprétations de classiques de la musique du monde entier, mais également des chansons traditionnelles qui permettent à Tosca de jouer avec sa voix en quatre langues et mettre en vedette certains des artistes internationaux qu’elle a rencontrés au cours de ses voyages : Ivan Lins, Arnaldo Antunes, Cyrille Aimée, Luisa Sobral, Lenine, Awa Ly, Vincent Ségal, Lotfi Bouchnak, Cèzar Mendes et Silvia Perez Cruz. Basé sur trois éléments solides : la recherche, la langue et le son, l’album dresse un pont entre les racines italiennes et la musique d’ailleurs. Français, portugais, arabe, italien et romanesco forment un carrousel coloré et polyglotte qui célèbre la mixité, l’accueil et l’écoute comme voie de salut pour l’humanité, ainsi que l’amour et la passion, centre névralgique de toutes les chansons de l’album. Qu’est ce que MORABEZA ? Antonio Tabucchi l’a écrit pour définir la saudade, mais cela peut aussi s’appliquer au mot créole morabeza : un mélange de saudade et d’alegria qui signifie aussi faire confiance au présent, loin de chez soi. « C’est le paradis de l’intégration, car il rassemble tous les émigrés qui rêvent de revenir » explique Tosca. C’est un mot qui décrit l’enchantement de ce qu’on appelle en allemand « heimat », le pays où l’on se sent chez soi. Le retour est plus difficile quand on se sent chez soi. Basé sur ce sentiment particulier, à mi-chemin entre nostalgie et contentement, ce nouvel album de Tosca s’accroche à la musique du monde, la musique des gens, intimiste ou joyeuse, mélancolique ou passionnée, une musique qui chante la vie comme si c’était le dernier jour et un amour poignant comme quelque chose qui va bientôt se terminer.
Chers amis et adhérents, PROMENONS NOUS AVEC MOLIÈRE!
Cette flânerie « moliéresque » sur les pas et les mots de Jean-Baptiste Poquelin, en compagnie de Bruno La Brasca, nous plongera dans le Paris du théâtre marqué par présence et « l’arte della commedia » des comédiens italiens. Elle sera « l’ouverture », d’un atelier théâtral itinérant qui, tout au long de l’année, permettra à tous en lecture et « en jeu » de décliner certains dialogues des grandes comédies du répertoire théâtral.
RDV le 17 février à 18h30 à la Fontaine des Saints Innocents. (Métro Châtelet/Les halles)
Flânerie Promenade avec Molière ! Le jeudi 17 février à 18h30.
Deux hommes, un blanc et un noir. Le Noir est un de ces migrants qui, par dizaines de milliers, au risque de leur vie, se pressent aux frontières de l’Europe pour chercher refuge, fuyant devant les quatre cavaliers de l’Apocalypse de Saint Jean. Le Blanc est celui qui pourrait lui accorder l’asile. Le Noir n’est-il qu’un pauvre bougre, comme il y en a tant, qui traversent la Méditerranée? Un mythomane victime de son propre délire mystique ou bien vient-il encore une fois par son martyre accomplir la mission que lui a confiée le Père? “Je ne suis pas venu de mon plein gré. C’est le seigneur mon père qui m’envoie. Je suis venu accomplir sa volonté”. Des radeaux remplis de désespérés risquant le naufrage, le cadavre d’un enfant étendu sur une plage: ce sont là des images que la télévision diffuse quotidiennement dans nos maisons, entre deux interruptions publicitaires, au risque d’annuler, par l’accoutumance au spectacle de la douleur, la pleine conscience des événements. Le théâtre peut et doit recourir à la parole pour raconter et donner une vision différente de cette tragédie historique. Sur la scène du “Christ clandestin”, le Noir et le Blanc se confrontent comme dans les anciens “morality plays”, proposant à nouveau le conflit entre le Bien et le Mal, entre les paraboles de l’Evangile et les dogmes utilitaristes d’une nouvelle religion, celle des marchés financiers: divinités qui flottent au-dessus de nous toute puissantes, ignorant la miséricorde pour les pauvres ou les clandestins. Le Noir se manifeste en tant que Christ réincarné, mêlé aux milliers de pauvres bougres, lesquels vivent un vrai chemin de croix dans leur voyage vers une Europe de plus en plus égoïste, représentée par le cynisme du Blanc, fonctionnaire chargé de l’accueil. L’inversion des rôles – le Blanc devient le Noir et le Noir prend l’identité du Blanc – repropose, au-delà de la couleur de peau, un conflit destiné à se perpétuer tant que la parole de l’Évangile ne sera pas réellement entendue et mise en pratique.
Bruno La Brasca Après des cours chez René Simon et Tania Balachova mes premières rencontres avec la scène d’abord avec la compagnie L’Equipe et la compagnie Daniel postal j’ai fréquenté dans les années 70’ le monde du cinéma (Une fille unique , L’affiche rouge, La chanson de Roland, La barricade du point du jour) Ma passion pour le théâtre m’a rattrapé au début des années 80’ Catherine de Seyne ,Catherine Dasté, Pierre Ascaride, le Centre Textes (pour la dramaturgie italienne contemporaine pour lequel j’ai participé à de nombreuses mise en espace) Wladislaw Znorko, la compagnia Casale…au début du nouveau millénaire avec le Golem Théâtre avec lequel je travaille actuellement (Casablanca 41’, En Fuite, Un Roi sans Divertissement) et des parcours scéniques à paris Sur l’Affaire du collier de la Reine, sur les pas de DANTE à Paris, La Commedia et la naissance du théâtre français… (Bruno La Brasca)
Gaspard Njock Artiste multidisciplinaire né en 1985 au Cameroun dans la ville de Douala, il crée, produit et fait la promotion de spectacles mêlant musique et arts plastiques, en particulier l’opéra et la bande dessinée. Passionné d’arts visuels depuis son enfance, il lit les bandes dessinées franco-belges et commence à peindre des tableaux abstraits dès 1999. Après une brève période autodidacte, il obtient une bourse d’études qui lui permet de se rendre à Rome en 2008. Il y découvre l’opéra et entrevoit un lien étroit entre la musique, le chant et le dessin. Dès lors, il se spécialise dans la recherche sur l’interaction entre l’art lyrique et la bande dessinée. Sa formation en Italie à l’école romaine de la bande dessinée (Scuola Romana dei Fumetti) s’accompagne aussi d’une spécialisation dans l’écriture de spectacles. Il est détenteur d’un diplôme universitaire en sciences et arts du spectacle de l’Université de Rome Sapienza, où il acquiert des compétences pratiques dans le domaine de la dramaturgie musicale, le cinéma et l’histoire de l’art. Il a travaillé en collaboration avec des institutions scolaires en dispensant des cours d’histoire de l’art et de bande dessinée. Actuellement, il poursuit ses recherches à l’UFR de musique et musicologie de l’université Lettres-Sorbonne sur le rapport entre le visuel et le sonore. Gaspard a publié une bande dessinée en Italie, évoquant les grandes inventions de l’illustre humaniste Aldo Manuzio chez Tunué qui traite de l’importance et de la naissance du livre de poche. Il publie aujourd’hui chez Nouveau Monde Graphic (Paris), Un voyage sans retour qui porte un regard alternatif sur le thème des migrations. Gaspard a présenté un nouveau projet de bande dessinée qui aborde les correspondances entre la bande dessinée et la musique : Maria Callas, L’enfance d’une Diva. Sa démarche artistique consiste à démontrer qu’il est possible de traduire graphiquement des perceptions sonores, partant d’une étude structurelle de la musique pour arriver aux analogies insoupçonnables qui la relient aux arts plastiques et à la bande dessinée en particulier.
Franco Gervasio Comme metteur en scène de théâtre, Franco Gervasio a grandi professionnellement au Teatro Stabile de Turin aux côtés de Mario Missiroli, de Dario Fo et de Luca Ronconi. Après sa maîtrise de mise en scène au DAMS de Bologne, où il a étudié avec Umberto Eco, Luigi Squarzina et d’autres personnalités de la culture italienne, il a travaillé à Paris au Théâtre National de Chaillot avec Antoine Vitez. Il a à son actif une centaine de mises en scène de théâtre qui vont des classiques, comme son bien-aimé Molière, avec une œuvre inédite en Italie, à Goldoni, présenté à la biennale de Venise, jusqu’aux classiques grecs dans des théâtres historiques. A Beaubourg il a mis en scène « Orgie » de Pasolini pour le Festival d’automne. Le Festival de Hammamet a produit « Tragedia Popolare » de Mario Missiroli, présenté précédemment à Spolète où il était présent à la fois comme metteur en scène et producteur. Son intérêt particulier pour le théâtre contemporain l’a conduit à travailler avec Marc Perrier, Maricla Boggio, Pietro Favari, Emilio Isgro, Stephan Mac Donald et d’autres auteurs internationaux. Ses textes, en tant qu’auteur, ont été montés au Teatro Stabile de Bologne et dans d’autres théâtres italiens. Ses mises en scène d’opéras lyriques ont été commandées par le Maggio Musicale Florentin, le Teatro Verdi de Trieste, l’Opéra Festival de Copenhague et d’autres théâtres italiens. Il a dirigé des théâtres publics, privés et des festivals. Il a été membre du comité de direction de Teatri Stabili et d’Institutions internationales. Comme artistes plasticien il a exposé à Milan, Istanbul, Dubaï et Rhodes Island. Il a été l’un des soixante-dix artistes choisis pour représenter l’Italie à l’Expo Milan 2015. Il a participé à la Biennale de Vénétie, à celle de Carrare, à des expositions collectives et à des foires d’art en Italie, à New York, à Bâle, Berlin, Shanghaï, Dubaï, Londres, Barcelone, Innsbruck avec ses installations « Landscape Theater », ses sculptures néon « Lightlands », ses peintures « Landscapes » et ses photographies « Urbanscape » : des œuvres inspirées par le paysage de la campagne et le paysage urbain parcouru de nuit, son appareil-photo en main.
Pietro Favari Diplômé en Architecture au Politecnico de Milan. A enseigné au Dams de Bologne « théories et techniques du langage radio-télévisuel ». Professeur à l’Académie d’art dramatique « Silvio d’Amico » Critique théâtral pour de nombreux quotidiens et revues italiens. Nombreuses collaborations à la radio et la télévision italiennes. Principales œuvres théâtrales : Cenerentola in cerca d’autore, Salve regina, Sentimental, Il sofà indiscreto, La lussuria, L’ultimo desiderio, Le nuvole sul divano, La grande sorella, Monsieur Goldoni, Fratelli d’Italia, Museo delle utopie, Cristo Clandestino.
Chers amis et adhérents, en occasion du 700ème anniversaire de la mort de Dante Alighieri, nous sommes heureux de participer à l’organisation du « DanTour de Babel »!! Le 13 septembre, la Librairie Italienne Tour de Babel accueillera un jeu de table géant adapté à la « Comédie » et à la « Vie Nouvelle » de Dante. « Imprévus » et « Chances » guideront les dantetouristes à travers les passions de la Comédie: les vices, les vertus, les péchés, l’extase.
Avec Francesco Forlani, écrivain, auteur du Dantour et animateur et Jean-Charles Vegliante, traducteur de la Comédie (Gallimard).
Dans les rôles d’Imprévu et de Chance : Serena Rispoli et Valeriano Forte.
Deux Dantours de la durée d’une heure: à 19h et 20h15 – Apéritif dantesque entre les deux.
Nous sommes heureux et honorés d’avoir participé à la vidéo « Festa della Repubblica – L’Italia in scena », organisée par l’Ambassade d’Italie en France pour célébrer les 75 ans de la naissance de la République Italienne. https://www.youtube.com/watch?v=F-MO1t5JO2c
A la minute 41.14 vous trouvez le teaser d’une vidéo que nous avons réalisé en hommage à Dante Alighieri et qui sera diffusée le 13 septembre prochain pour le 700ème anniversaire de sa mort.
fotografie sul cinema di Rodrigo Pais dal 1958 al 1970
La mostra Magnifici quegli anni. Fotografie sul cinema di Rodrigo Pais dal 1958 al 1970 promossa dalla Casa del Cinema a Villa Borghese, è stata ideata e prodotta dall’associazione culturale franco-italiana Les Ateliers de CriBeau insieme ad Alma Mater Studiorum – Università di Bologna, Biblioteca Universitaria di Bologna.
La mostra raccoglie 56 scatti fotografici realizzati dal fotoreporter Rodrigo Pais (Roma, 1930 – Roma, 2007) nel decennio d’oro di produzione cinematografica italiana, testimoniando in particolare il proficuo rapporto tra l’industria cinematografica italiana e quella francese. A partire dagli anni ’50, gli accordi di coproduzione tra le due nazioni incrementano un tessuto di relazioni internazionali ben documentato nelle immagini del fotoreporter con decine di fotoservizi dedicati a registi, attrici e attori che giungono nella capitale italiana per realizzare un film o pubblicizzarne uno che sarebbe approdato sul mercato nazionale. La grande commistione di artisti presenti a Roma, che supera le barriere d’oltralpe, è documentata anche nelle fotografie che rappresentano il rapporto tra cinematografia statunitense e italiana e le sue personalità. Inoltre, in mostra sono proposti scatti fotografici che ritraggono i protagonisti cardini della cinematografia italiana degli anni ’60.
Le mercredi 31 juillet à 20h Salle des Fëtes – Mairie du 10e arr. Paris
Entrée libre et gratuite.
Roberta Roman Trio « L’originalité du Trio réside dans ses mélodies, ses rythmes et ses
harmonies raffinées. Ses solutions interprétatives conjuguent ironie et
sensualité, sobriété et abandon sentimental, énergie et délicatesse ».
(Gigi Razete, La Repubblica)
S’il y a une musique qui transpire le sel de la vie, ses drames les plus
intenses et ses plaisirs les plus torrides, c’est bien le tango. Née en
Argentine, mais rapidement devenue universelle, cette musique parle à
tous ceux qui ont un cœur. Pas étonnant donc qu’elle rassemble par-delà
les océans. La guitariste italienne Roberta Roman, la bandonéoniste argentine Marisa Mercadéet la violoncelliste française Michèle Pierre ont ainsi trouvé le terrain d’entente idéal pour embarquer le public dans une grande virée mélancolique, sensuelle et démesurée.
Le trio réalise un voyage sonore fascinant et sanguin avec un langage aux saveurs modernes dans l’incontestable charme du tango.
Trio international basé à Paris, tout au féminin, propose un parcours musical original à travers la connivence de la musique « savante » et de celle « populaire »
Le sens profond du tango et son engagement émotif, est rendu vrai par le
grain naturel du son acoustique. Le bandonéon, la guitare et le
violoncelle se répondent, échangent des phrasés à l’intérieur d’une
tessiture musicale suggestive et complexe où chaque instrument s’exprime
entièrement.
Leur répertoire n’embrasse pas seulement le tango
depuis ses origines jusqu’à la musique d’Astor Piazzolla mais également
les nouvelles œuvres écrites spécialement pour le Trio par des
compositeurs actuels tels que Rossano Pinelli, Simone Iannarelli, Glbert
Clamens, Atanas Ourkouzounov, Leonardo Sanchez, Jurgen Schwenkglenks,
Didier Goret et Youri Bessieres. « Un ensemble idéal de musique, de virtuosité et de beauté. Passion grâce et feu. » (Publico- Mexico) « Une exécution entraînante, raffinée, palpitante, d’une
respectueuse passion, et d’une capacité vraiment peu commune » (Folk
notes – Franco Lucà- Italie) « Une interprétation d’un niveau technique éblouissant, mais aussi
d’une grande passion, grâce, vitalité et énergie » (Corriere della Sera-
Italie)
Depuis plus de 20 ans le Roberta Roman Trio
(précédemment sous le nom Trio Contempo) partage l’affiche avec des
artistes de renommée internationale comme : Pink Martini, Juan Carlos
Caceres, Gotan Project, Richard Galliano, Duo Assad, Pedro Soler, Raoul
Barboza, Cesar Stroscio, Pink Martini, Badi Assad, Sharon Isbin
Il s’est produit sur des scènes dans le monde entier comme le
Théâtre National de Chaillot, le Théâtre Saint Germain en Laye, l’Atrium
de Chaville, en France mais aussi à l’Anfiteatro de Catane, le
Metropolitan de Palerme, l’Idroscalo de Milan en Italie, le Théâtre de
Bellinzone en Suisse, le Théâtre de Querétaro, Théâtre de Bellas Artes
au Mexique et ailleurs en Suède, Danemark et Maroc.
Le Trio a participé à la production cinématographique « Démokratia » de
Malek Bensmail diffusée par ARTE ; il s’est également produit en
directe pour la radio-tv mexicaine, pour Radio-France et pour RAI 1 et
RAI 3 Italie.